Réagissant à la suite de la déclaration des rebelles du M-23 soutenu par le Rwanda qui exige du Président de la République Démocratique du Congo une déclaration solennelle reconnaissant une volonté politique de dialoguer avec eux et en abandonnant aussi les poursuites judiciaires contre leurs leaders, le député national André Lite Asebea est resté intransigeant en qualifiant cela d’une aventure de mauvais goût pour que les rebelles terroristes puissent exiger quoi que ce soit aux institutions légitimes du pays.
Pour le meilleur élu de Wamba, la souveraineté de la RDC et ces institutions légitimes ne sont pas négociables a martelé ce Chrétien du message du Prophète William Marrion Branham.
Ces préalables des M-23/AFC avant le dialogue avec Kinshasa ne passe pas dans la classe politique congolaise. Du moins, parmi les membres de la majorité, le groupe armé exige entre autre du Chef de l’État Félix Tshisekedi une déclaration publique et solennelle reconnaissant une volonté politique de dialoguer avec le M-23 et la levée des poursuites judiciaires contre ses dirigeants. Une démarche non loin d’être acceptée par Kinshasa.
Pour le député national André Lite Asebea, le paravent du régime de Kigali n’a rien à dicter aux institutions légitimes de la RDC.

« De prime à bord, le M-23 et consorts, c’est un vide de l’esprit. Une histoire platonique que vous en douter bien. Un paravent Rwandais qui cache mal l’impertinence de démarche Rwandaise dans son unième attaque contre la RDC. Deuxièmement, à partir du moment où nous considérons le prétendu mouvement auquel vous faites allusions, je dis bien qui n’existe pas, il n’en demeure pas moins que les criminels qui en sont les faire valoir n’ont rien à dicter aux institutions légitimes de notre pays. Cela doit être claire et connu de tous, tout simplement parce que c’est une vaste blague qui est de demander au Président de la République de faire une déclaration de quelque nature que ce soit en leur faveur, au tant que l’Assemblée Nationale n’a pas à revenir sur sa résolution du 08 Novembre 2022. Je dois ici préciser qu’à travers le processus de Nairobi avaliser depuis lors par le conseil de sécurité ; ils ont déjà un cadre préétabli où se traite de leur situation en attendant bien sûr d’occuper leur prochaine place à la prison. Tant entre nous soit dit, aucun mécanisme politique, diplomatique voir militaire ne saurait épargné des poursuites pénales des chefs hiérarchiques des auteurs des crimes internationaux. Surtout que c’est aussi claire comme de l’eau de roche. » a-t-il déclaré le député national André Lite Asebea.
Rédaction la Symbolique
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