Cour Constitutionnelle : Mme Kalume Asengo Alphonsine Cheusi, Candidate qui vient soigner l’image de la Géopolitique respectée

La problématique de l’espace linguistique reste le critère majeur pour soigner l’image de la représentation nationale dans la marche de nos institutions, déclare un Routier de l’administration judiciaire.
les élections pour la conduite bureau de la plus haute juridiction judiciaire sera la preuve pour anéantir toute les accusations sectaristes contre le chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi.
C’est ainsi la victoire des candidats ressortissants de l’espace Swahiliphone va attester la question de la représentativité de la Rdc

Le dernier mot lui reviendra sur les prochaines échéances de l’élection présidentielle après qu’il soit notifié et installé par une ordonnance présidentielle. Au regard de l’absence
de la crédibilité dont fait montre notre appareil judiciaire, le choix d’un nouvel animateur de la cour constitutionnelle devra tenir compte de plusieurs paramètres sociopolitiques pour redonner la crédibilité à une justice « malade » et à
géométrie variable.

Par ailleurs, l’aspect géopolitique devra
impérativement être intégré sur le choix de l’espace Swahiliphone afin de mettre
fin aux mensonges distillés par les détracteurs du régime sur une
stigmatisation de Swahili, une affabulation totalement fausse. Toutefois, certains candidats sont proches de
terroristes AFC/M-23, des partis politiques interdits de fonctionner en RDC et certains milieux mafieux de
haute finance dont certains juristes ont fait allégeance dans le but de maintenir
notre pays dans la souffrance et le sous-développement. D’où, un choix rassembleur devra démontrer le souci
permanent du Chef de l’État de remettre la justice sur les rails et de ne retenir autre critère rétrograde. C’est cela
que le peuple congolais voudrait voir après le 20 Juin. Évidement, selon les
informations en notre possession, les juges YUMA et Kalume ASENGO Cheusi
sont les plus aptes et réunissent les critères objectifs pour remettre de
l’ordre dans la justice.

S’agissant particulièrement de la juge
Kalume Asengo Alphonsine Cheusi, il y
a lieu de souligner que sa candidature à la présidence de la haute cour est
accueillie favorablement au sein de l’opinion au regard de sa grande probité et de sa riche expérience de 36
ans au sein de la magistrature congolaise. Dotée d’un sens élevé
de l’éthique et d’une intégrité morale
irréprochable, la juge Kalume Cheusi est donc la candidate idéale pour
succéder au président sortant de la Cour
Constitutionnelle, Dieudonné Kamuleta Badibanga qui ne fait plus l’unanimité au sein de la magistrature. C’est en tout cas, ce qu’estiment beaucoup d’observateurs et analystes du secteur de la justice au
regard du fait de sa compromission dans
plusieurs dossiers soumis à sa gestion.
C’est notamment le cas de la gestion chaotique du tout dernier cycle électoral,
précisément les législatives de décembre 2023 dont la gestion du contentieux était
caractérisée par des multiples contestations. Il lui est reproché la
gestion calamiteuse du Conseil Supérieur de la Magistrature.

Pour revenir à la juge Kalume, il y a lieu de signaler que cette originaire
de la province du Maniema a, à son actif un parcours élogieux. En effet, née à Kalemie en 1965, elle est détentrice
d’un diplôme de licence en droit économique de la faculté de Droit de l’Université de Kinshasa en 1983. En 1989, elle sera nommée à la magistrature au terme de l’arrêté d’organisation judiciaire. Au cours de la même année, elle sera nommée substitut du procureur de la République puis affectée au Parquet de Kalamu à Kinshasa avant de gravir plusieurs échelons au sein de la magistrature.

Signalons par ailleurs que la magistrature Congolaise provient du
régime passé où la plupart des magistrats ne sont pas l’émanation de Fatshi mais
plutôt du régime précédent qui a fait 18 ans de règne abusif. Sûrement, il y a
encore des magistrats inféodés de l’ancien régime qui continuent de faire
allégeance et qui ont des comptes à rendre à l’État Congolais et à la population. Ces anti patrie sont
dilués dans la magistrature en vue de servir non pas la patrie mais, les intérêts
mafieux de dignitaires de l’ancien régime, d’autres ont même des accointances avec des juristes arrêtés.

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Rédaction la Symbolique.

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