Au cœur de remous, deux questions à la base de cette distance silencieuse et rampante entre les princes de l’église après l’audience leur accordée par le Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo le Samedi 21 Juin dernier.
Dans l’entendement du garant de la Nation, le Pacte Social, fruit de 3 mois de consultation nationale a l’interne comme à l’externe mérite une harmonisation de vues avec l’équipe du professeur Eberand kolongele qui, il y a quelques mois, venait de remettre à son tour le rapport de consultations nationales. À côté de ces deux rapports, les pasteurs et les imams musulmans détiennent un mémo de pistes de solutions pour la crise à l’Est, somme faite, une harmonisation commune souhaitée pour éviter des voies discordantes à l’avenir soulignait le Chef de l’État.
Si L’ECC se montre flexible à la proposition présidentielle, le cardinal Fridolin Ambongo, jaloux de ces sacrifices consentis, réclame cependant la paternité exclusive du Pacte Social. Cette première discordance a justifié l’absence de Cardinal Ambongo et Muteba lors du rendez-vous de Samedi avec le Chef de l’État.
Alors que toute l’opposition est unanime sur la conduite de bons offices pour le dialogue qui se profile à l’horizon, les princes des églises commencent à s’entre déchirer, découvre lasymbolique.net. Ce point de vue presidentiel partagé avec L’ECC est loin d’être avaler par la CENCO. Quand Eric Nsenga parlait de l’évaluation commune, il savait au fond de la question cette divergence qui risque gros au travail du Pacte Social.
Les heures et ou jours prochains nous diront plus…
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Rédaction la symbolique.
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