Dans 6 jours de la clôture de la session, un vent tumultueux risque de retarder le processus d’installation du bureau définitif.
La question qui hante les esprits avertis est de savoir, si dans la série d’organiser les élections sénatoriales aux entités territoriales en retard ou un autre plus âgé Sénateur que le Sénateur Jonas MUKAMBA réapparait dans ces entités à problèmes. Qu’adviendrait-il ?
Les conséquences politiques et de droit pour l’équilibre des institutions.
Le trésor public court le risque de débourser une double dépense voir même triple dépense pour une seule prestation provisoire.
Autrement les frais d’installations du bureau provisoire déjà déboursés au finish déboucheront irréversiblement en conséquence aux indemnités des sorties.
Voilà pourquoi la rationalité et le bon sens face au défi de la réalité, il est de bon aloi de laisser continuer jusqu’au bon port la machine sénatoriale déjà engagée et présidée par le Sénateur Pascal KINDUELO et ses deux secrétaires (Rapporteur et Questeur)
La symbolique.
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