Réforme ou populisme au sein du Ministère de la Justice ? Le Professeur Taylor Lubanga applaudi Le Minetat Constant Mutamba car dit-il jusque-là il n’a pas sanctionné un seul magistrat.

Après tous les bruits des tintinmards sur les réalisations salvatrices du Minetat Constant Mutamba sur la problématique de la réforme de l’appareil judiciaire congolais.

Le  micro est maintenant  au professeur de Droit, l’honorable Taylor Lubanga de fixer l’opinion publique.

Face à Jean Marie Kassamba de télé 50 le professeur salue et rappele la position du chef de l’État sur la question qui a ramené la préoccupation dans la constitution ou un cadre de concertation est prévu entre le ministère de la justice et le conseil supérieur de la magistrature souligne le professeur de Droit.

La carrière des magistrats est régie par le conseil supérieur de la magistrature principe que le ministre respecte jusque là

Depuis sa nomination, le Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Constat Mutamba, s’est engagé dans une lutte pour une bonne justice  en République Démocratique du Congo. Ses initiatives, souvent controversées, suscitent des débats sur la nature de ses actions : s’agit-il de réformes nécessaires ou d’un populisme opportuniste ?

Dans une  édition présentée par Jean-Marie, le Professeur Taylor Lubanga, chargé de mission auprès du chef de l’État, a apporté des éclaircissements sur les compétences et les attributions du ministre de la Justice. Contrairement à certaines interprétations populaires, il a souligné que le ministre ne détient pas la compétence de sanctionner le magistrat.

Selon le Professeur Lubanga,  en matière de droit judiciaire, la suspension d’un magistrat n’existe pas. Lorsqu’un magistrat commet un manquement, il peut être soumis à une action disciplinaire. Ce n’est qu’après l’issue de cette procédure qu’il pourrait faire face à des sanctions, allant jusqu’à la révocation.

Il a également précisé que la carrière et la discipline des magistrats sont régies par le Conseil Supérieur de la Magistrature. La loi protège l’indépendance des magistrats, considérée comme un droit fondamental pour eux et un devoir pour l’exécutif.

Le Professeur Lubanga a montré l’importance de clarifier les attributions respectives du ministre de la Justice et du Conseil Supérieur de la Magistrature. Une meilleure compréhension des rôles de chacun pourrait permettre d’identifier des questions d’intérêt commun et d’améliorer ainsi le fonctionnement du système judiciaire congolais.

Akam KATAVALI

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